À la Chambre des représentants, Georges-Louis Bouchez, président du MR, a dressé un constat sans appel de la situation bruxelloise après deux décennies de gouvernance de gauche. Entre insécurité galopante, gestion financière désastreuse et absence de perspectives économiques, le temps du déni est révolu.
« La droite, quand elle perd une élection, elle se tait et va au Parlement faire son travail d’opposition. La gauche, elle, met le feu à la rue, fout le bordel dans la société et bloque une région », a dénoncé le président du MR. Alors que Bruxelles s’enfonce dans la crise, il est urgent de remettre de l’ordre.
Les chiffres sont accablants : une ville en faillite, un risque de pauvreté deux fois plus élevé que la moyenne nationale et une explosion de la criminalité. « Vous avez plus de chances d’assister à une fusillade que de voir un redressement économique », a-t-il encore fustigé.
Pour le MR, l’heure n’est plus aux petits arrangements politiques. Bruxelles a besoin d’un gouvernement stable et efficace, capable de prendre des décisions courageuses. « Le sketch doit s’arrêter. Si rien ne change, Bruxelles finira sous tutelle », a averti Georges-Louis Bouchez.
Le respect du résultat électoral est un fondement de la démocratie. L’alternance politique ne peut être confisquée par une gauche accrochée à ses échecs. Plus que jamais, le MR plaide pour une gestion rigoureuse et libérale afin de remettre Bruxelles sur la voie de la prospérité.