Ce jeudi 13 février, les syndicats avaient une occasion supplémentaire d’expliquer leurs positions et de confronter leurs idées lors d’un débat télévisé.
Face au président du MR, ils auraient pu défendre leurs arguments, répondre aux questions et justifier leurs blocages. Mais ils ont choisi une autre voie : le silence sur le plateau, le bruit dans la rue.
Une occasion manquée d’expliquer leur vision aux citoyens, d’échanger sur les réformes en cours et d’opposer des arguments concrets à ceux que nous portons.
Quand on fuit le débat, c’est souvent qu’on n’a rien à proposer. Où sont leurs solutions pour garantir notre sécurité sociale ? Comment comptent-ils remettre la Belgique au travail ? Silence radio.
Au MR, nous assumons nos positions. Nous débattons, nous expliquons, nous avançons. Le pays a besoin d’un dialogue franc, pas d’une opposition caricaturale.
C’est d’autant plus surprenant que des syndicats avaient été reçu le mardi 12 février par le Vice-Premier ministre David Clarinval dans le cadre du G10. Une rencontre où l’importance de la concertation sociale a été rappelée, ainsi que la nécessité d’adapter nos politiques aux défis de notre temps.
Le Président du MR tend la main à celles et ceux qui veulent faire avancer le pays. Mais encore faut-il avoir le courage d’assumer ses idées devant les citoyens…