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L’objectif de cette rencontre était d’analyser les défis actuels en matière de sécurité et de radicalisation, tout en faisant émerger des propositions concrètes pour renforcer les dispositifs existants. Denis Ducarme, député fédéral fort de son expérience et de son engagement sur ces questions, a apporté des perspectives enrichissantes qui ont nourri les discussions.

Parmi les nombreux sujets abordés, l’organisation des forces de l’ordre a été au cœur des débats. Les participants ont insisté sur la nécessité d’améliorer la coordination entre les niveaux communaux et fédéraux pour garantir une réponse efficace face aux problématiques locales et nationales. Le rôle des partenariats locaux de prévention a été particulièrement mis en avant, avec une demande forte pour des échanges d’informations plus fluides et des actions concertées.

Un autre point était l’application rigoureuse des lois existantes. Les participants ont souligné que trop souvent, les mêmes délinquants sont arrêtés sans conséquences dissuasives. Ils ont appelé à une meilleure utilisation des moyens juridiques pour réduire ce phénomène, qui mine la confiance des citoyens dans le système judiciaire.

Egalement, la montée de la criminalité liée aux drogues. Denis Ducarme et les membres présents ont échangé sur les moyens de protéger les jeunes, cibles privilégiées des dealers. Parmi les propositions, une meilleure collaboration entre les collectivités locales, les écoles et les forces de l’ordre a été jugée essentielle. L’objectif est clair : démanteler les réseaux de trafic de manière durable tout en préservant les jeunes générations des ravages de la toxicomanie.

Les participants ont également évoqué la question des ressources allouées à cette lutte. Ils ont plaidé pour un renforcement des moyens humains et matériels afin d’améliorer l’efficacité des interventions et des enquêtes. Une attention particulière a été portée à la prévention, notamment par le biais de campagnes d’information visant à sensibiliser les jeunes et leurs familles.

Prévenir la radicalisation : un enjeu décisif

Sur le volet de la radicalisation, les discussions ont été riches et constructives. Les membres ont partagé leurs expériences et leurs idées sur la manière de mieux prévenir ce phénomène complexe. Denis Ducarme a rappelé l’importance d’identifier les signes précurseurs de la radicalisation, souvent perceptibles dans les milieux scolaires ou associatifs.

Une approche inclusive, évitant toute stigmatisation, a été unanimement prônée. Les participants ont souligné l’importance de former les enseignants, les travailleurs sociaux et les responsables associatifs pour leur permettre d’agir rapidement et efficacement face à ces signaux d’alerte. Une collaboration accrue avec les familles et les communautés locales a également été identifiée comme une clé pour lutter contre ce fléau.

Nous remercions chaleureusement tous les participants pour leur engagement et leur propositions sur ces thématiques essentielles.