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Ce dimanche sur RTL TVI, Georges-Louis Bouchez a répondu aux questions de Martin Buxant. Face aux défis du moment, il a rappelé que le Mouvement Réformateur ne se contente pas de commenter : il propose, il agit, il ose !

Aujourd’hui, un enfant sur deux de moins de 15 ans a déjà doublé au moins une fois en Fédération Wallonie-Bruxelles. Pour le Président du MR, il est urgent de revenir au bon sens : vérifier que les bases sont acquises avant de passer à la suite. « Si vous ne savez pas calculer, vous ne saurez pas faire d’algèbre », a-t-il souligné. Avec Valérie Glatigny, Ministre de l’Enseignement obligatoire, un test CLÉ (Calculer, Lire, Écrire) sera instauré en 4e primaire dès l’an prochain. Une mesure simple, juste, qui vise à rendre à l’école sa véritable mission : transmettre les savoirs, garantir l’égalité des chances, et non donner l’illusion de la réussite.

Sur le plan européen, Georges-Louis Bouchez a rappelé que l’action du MR s’inscrit dans une dynamique plus large : celle de construire une Europe forte, capable d’assurer son autonomie énergétique, industrielle et militaire. À cet égard, il a annoncé avec fierté la venue de Gabriel Attal, Premier ministre français, au congrès du 1er mai du MR. Preuve que les idées libérales et progressistes que nous défendons trouvent un écho au-delà de nos frontières.

Le président du MR a également dénoncé les incohérences de notre système d’aides sociales. Comment justifier que des personnes résidant à l’étranger puissent bénéficier de droits auxquels nos propres citoyens n’ont pas accès ? La vraie égalité, a rappelé Georges-Louis Bouchez, consiste à traiter tout le monde de la même manière, sans clientélisme ni injustice.

Sur l’accompagnement des demandeurs d’emploi, il a tenu à être extrêmement clair : personne ne sera abandonné. Bien au contraire. Le MR veut un accompagnement plus humain, plus efficace, qui protège les personnes de bonne foi. Mais il est aussi juste que ceux qui détournent la solidarité nationale soient enfin responsabilisés.

Georges-Louis Bouchez n’a pas hésité à pointer l’immobilisme syndical, notamment dans le secteur de la grande distribution. Refuser toute réforme depuis trente ans, c’est condamner les travailleurs d’aujourd’hui et de demain. Le MR tend la main au dialogue, mais refuse les blocages et les postures qui pénalisent nos PME, nos commerçants et nos classes moyennes.

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