Skip to main content

Dans une interview accordée à The Brussels Times, Georges-Louis Bouchez est revenu sur les défis politiques majeurs qui traversent la Belgique et l’Europe.

À l’heure où la gauche bruxelloise s’enfonce dans l’idéologie et l’inaction, il défend une vision pragmatique et assumée de la gouvernance, basée sur l’efficacité, la responsabilité et le respect des valeurs fondamentales de notre société.

Face à la montée du communautarisme, à l’inaction face à l’insécurité et à la paralysie institutionnelle qui gangrène le pays, il appelle à des réformes profondes et à un leadership fort !

Pour lui, la gauche belge, en particulier à Bruxelles, a perdu tout courage politique. Prisonnière de la peur du débat, elle refuse d’aborder des sujets essentiels comme la criminalité et l’immigration. Pourtant, les chiffres sont clairs : une large partie des arrestations dans la capitale concerne des migrants en situation irrégulière. Mais plutôt que d’apporter des solutions, la gauche se réfugie dans le déni et dans des postures idéologiques. Ce refus d’affronter la réalité ne fait qu’aggraver les tensions et alimente un sentiment d’abandon parmi les citoyens.

Cette dérive s’accompagne d’une remise en cause de la démocratie elle-même. Bouchez dénonce une gauche qui, à chaque défaite électorale, préfère descendre dans la rue et contester les résultats plutôt que d’accepter le choix des électeurs. Cette attitude se retrouve partout en Europe. Ce rejet du verdict démocratique affaiblit les institutions et alimente une instabilité permanente qui freine les réformes.

Au niveau national, il plaide pour un modèle de gouvernance plus clair et plus efficace. Le morcellement du pouvoir empêche toute réforme d’ampleur et renforce le sentiment d’impuissance politique. Sur la question de l’immigration, il insiste sur l’importance d’une intégration fondée sur l’assimilation. Vivre en Belgique implique de respecter ses lois, ses valeurs et son identité. Il dénonce une vision angélique qui consiste à tolérer le repli communautaire au nom du multiculturalisme. Un pays ne peut être fort que si ses citoyens partagent un socle commun de principes et de références.

Il est temps de sortir de l’immobilisme et d’assumer une politique de droite fondée sur l’action, la constance et le courage. Loin des postures, une droite où l’efficacité prime sur le dogmatisme !

Découvrez l’article