Quelques semaines après la formation du gouvernement “Arizona”, le MR, sous l’impulsion du Vice-Premier ministre David Clarinval a décroché un accord politique majeur autour de la loi-programme. Objectif : activer l’emploi, relancer notre économie et renforcer la compétitivité de nos entreprises. Une réforme ambitieuse et libérale, portée avec détermination par le MR.
Sous notre impulsion, le gouvernement fédéral a franchi une étape cruciale avec l’adoption d’un accord historique sur la réforme du chômage. À la clé : des mesures fortes et équilibrées qui visent à renforcer l’activation au travail, soutenir les entreprises, tout en préservant notre modèle social.
Limiter le chômage dans le temps : une réforme libérale, juste et efficace
Portée par le Vice-Premier ministre David Clarinval, cette réforme structurelle introduit une limitation à deux ans maximum des allocations de chômage pour les moins de 55 ans, dès 2026. Ce nouveau cadre vise à encourager le retour à l’emploi, tout en renforçant l’accompagnement et l’incitation à la réinsertion.
« En tant que libéraux, notre volonté est de toujours récompenser le travail. Cet accord est une réponse claire et responsable aux enjeux de notre temps : activer l’emploi, protéger notre système social et soutenir notre économie », souligne David Clarinval.
Une période transitoire est prévue pour permettre une mise en œuvre progressive et garantir une adaptation sereine de tous les acteurs concernés. Des exceptions sont prévues, notamment pour les personnes en formation dans les métiers en pénurie dans le secteur des soins et du bien-être.
Une attention pour les carrières longues
La réforme prévoit que les travailleurs de plus de 55 ans pourront continuer à bénéficier d’un régime plus souple, à condition d’avoir cumulé 30 années de carrière dès 2025, puis 35 ans à l’horizon 2030. Une reconnaissance du parcours professionnel de celles et ceux qui ont contribué longtemps au monde du travail.
1 milliard pour nos entreprises : un choc de compétitivité
Le MR a également veillé à soutenir directement nos entreprises. Des mesures structurelles sont prévues pour atteindre **1 milliard d’euros d’allègement des charges patronales** d’ici 2029, notamment :
- Une réduction des charges sur les bas et moyens salaires
- Un plafonnement des cotisations sur les hauts salaires
Ces décisions concrètes visent à stimuler l’embauche, alléger le coût du travail et rendre nos entreprises plus compétitives, tout en soutenant la relance.
Réintégration des malades de longue durée : responsabiliser et accompagner
Autre volet essentiel : la réintégration des malades de longue durée. Le MR défend une approche équilibrée qui responsabilise les médecins, mutuelles, employeurs et travailleurs autour d’un objectif commun : favoriser le retour à l’emploi quand les conditions le permettent.
À partir de 2026, les absences injustifiées seront réduites de trois à deux jours. Un signal clair pour éviter les abus et renforcer la cohérence de notre système.
Il est également prévu un contrôle renforcé pour les médecins qui prescrivent trop de certificats médicaux.
Statut des artistes : stabilité garantie
Conscient des spécificités de certains secteurs, le gouvernement a décidé de maintenir le statut des artistes tel quel à ce stade, tout en luttant contre les abus. Un équilibre entre reconnaissance du métier artistique et respect des règles communes.
Une réforme dans l’ADN du MR
Le Mouvement Réformateur réaffirme son engagement pour une société où le travail est au cœur de la prospérité collective, où les entreprises sont soutenues, et où les réformes sont synonymes d’opportunités, pas de contraintes.
« Cet accord, quelques semaines seulement après le début de la législature, prouve que nous sommes au rendez-vous. Pour l’emploi, pour la relance, pour les Belges. Voilà ce que signifie gouverner avec ambition et responsabilité », conclut David Clarinval.