En s’exprimant sur ses réseaux sociaux, Georges-Louis Bouchez a réaffirmé son attachement à la culture et aux artistes, tout en critiquant un système trop dépendant des subsides publics et influencé par des considérations partisanes.
Il estime qu’il est temps de questionner le financement et la promotion de la culture en Fédération Wallonie-Bruxelles, afin de mettre fin au copinage et de mieux prendre en compte les choix du public. Il plaide pour un modèle qui intègre davantage le mécénat et qui permette aux artistes d’être soutenus sur base de leur talent plutôt que de leurs connexions politiques.
Pour le président du MR, la culture doit être libérée des contraintes administratives et s’ouvrir davantage à l’international, portée par la langue française. Il souhaite recentrer les aides sur la diffusion des contenus plutôt que sur le maintien de certaines structures, afin que la culture touche réellement toutes les couches de la population.
Enfin, Georges-Louis Bouchez insiste sur l’importance de sortir d’une logique de dépendance politique et de valoriser une culture dynamique et accessible à tous. Il défend une approche plus libérale du secteur, qu’il entend promouvoir activement.
